Il y a des douleurs qu’on ne comprend pas, des schémas qui se répètent, des émotions qui débordent sans prévenir. Parfois, malgré la volonté, les outils, les relaxations… quelque chose résiste.
C’est là que la sophranalyse intervient.
Une alliance subtile entre sophrologie et exploration des mémoires.
Le Dr Jean-Pierre Hubert, pionnier de la sophrologie et créateur de la sophrologie analytique m'a formé à la sophranalyse, une approche thérapeutique qui conjugue les techniques de sophrologie (relaxation, respiration, états de conscience modifiés) avec une écoute profonde des mémoires émotionnelles, parfois anciennes, voire transgénérationnelles.
L’objectif n’est pas seulement de gérer un symptôme, mais de comprendre d’où il vient, ce qu’il répète, ce qu’il cherche à dire.
C’est une démarche d’écoute fine, respectueuse, où l’on ne force rien, mais où l’on invite doucement la conscience à faire émerger le sens.
La sophranalyse repose sur un principe simple mais puissant : Le corps a sa mémoire. Il garde trace de ce que la conscience a parfois refoulé pour survivre.
Un mot, une image, une sensation corporelle peuvent devenir des portes. Pas des portes mentales, mais des portes sensitives vers l’histoire personnelle, parfois enfouie, parfois familiale. Dans un état de conscience apaisé, le mental s’écarte, et l’émotion peut enfin être reconnue, accueillie… et libérée.
Je ne crois pas aux grands discours ni aux raccourcis.
Je crois à la puissance d’un moment vrai, à l’intelligence du corps, et à la capacité qu’a chacun de transformer sa souffrance en ressource… quand le cadre est juste.
La sophranalyse n’impose rien.
Elle accompagne l’émergence, à votre rythme.
Elle ne vous raconte pas votre histoire à votre place, mais vous aide à en redevenir l’auteur.
La sophranalyse s’adresse à ceux qui :
Chaque séance commence par un temps d’échange, puis se poursuit par une exploration guidée en état de conscience modifiée (proche de la sophrologie classique), où le corps devient le guide.
Des images, sensations, souvenirs peuvent émerger. Pas toujours. Mais quand ça émerge, c’est juste, et souvent éclairant.
Je vous accompagne avec rigueur, douceur, et sans jamais interpréter à votre place.
C’est votre vérité intérieure qui importe.
« On ne guérit pas d’un passé douloureux en le contournant. Mais en lui offrant enfin un lieu d’écoute. »